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  • Pasteur Godam de " L'Ange du Seigneur Tabernacle" de Brazzaville à la Pierre de Faite Tabernacle du Gabon

    Le Pasteur Godam du Tabernacle «  l’Ange du Seigneur » de Brazzaville (Congo), est au Gabon sur invitation du Révérend Apôtre, Guy Calvin LEBAMA, pasteur du Tabernacle « Pierre de Faite » du Gabon.

    Nous y reviendrons! 


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  • Témoignage sur la mort de William Marrion Branham 

                                 

    William Branham color

    Les Saintes Écritures affirment que nous sommes étrangers et voyageurs ici-bas, mais qu'un jour ce pèlerinage de notre vie terrestre doit se terminer par la mort. Si cette étape semble si douloureuse pour ceux qui restent, elle ne l'est pas pour le croyant qui rentre à la maison où d'autres bienheureux l'attendent.

        Les évènements qui ont entraîné la mort soudaine de Frère Branham nous sont racontés par le pasteur Pearry Green.

      Le samedi 18 décembre, notre frère Branham quitta Tucson, Arizona, avec sa famille, retournant à Jeffersonville, Indiana, pour les vacances de Noël. Ils quittèrent Tucson vers 6 heures du matin pour s'arrêter à Benson, Arizona, au restaurant Hank et pour prendre leur déjeuner. A midi, ils avaient, par l'autoroute, atteint la ville d'Alamogordo au Nouveau-Mexique, et avaient pris leur repas dans le Dinateria. Au repas du soir vers 6 heures, ils arrivèrent à Clovis, Nouveau-Mexique, et s'arrêtèrent pour souper au restaurant Denny.

         Frère et soeur Branham, Sarah et Joseph voyageaient dans la station-wagon de frère Branham. Je vais vous donner la description de cette voiture parce que certains ont déclaré faussement, outre-mer, qu'il avait été tué dans la Cadillac que les hommes d'affaires du Plein-Evangile lui avaient donnée. Mais il voyageait dans sa Ford station-wagon, modèle de 1964, qui avait déjà roulé 88.000 km et il se préparait à me rendre cette voiture. Pour les vacances de Noël, je devais prendre l'avion pour Jeffersonville et ramener moi-même l'automobile à Tucson et lui, il devait prendre livraison d'une nouvelle station-wagon.

         AClovis, Nouveau-Mexique, frère Branham fit quelqu

    e chose de très étrange, d'après les dires de la famille. Quand ils arrivèrent devant le restaurant, il leur déclara qu'il ne mangerait pas. Frère Billy Paul voyageait dans sa Chevrolet, avec sa femme et ses deux petits garçons. Or, frère Branham permettait rarement à Joseph de voyager avec Loyce et Billy, parce que Joseph était un jeune garçon, qu'il avait une voiture remplie d'objets divers, et que frère Billy et soeur Loyce étaient nerveux, les deux enfants étant insupportable. Quand ils arrivèrent en face du restaurant, Joseph et Sarah entrèrent pour manger en même temps que Billy, Loyce et les deux garçons. Soeur Branham demanda à son mari s'il venait manger et il lui répondit: "Non, va en avant, je ne pense pas que je mangerai". Soeur Branham entra, et les enfants demandèrent: "Où est papy?".

         "Papy ne peut pas manger, il ne se sent pas bien."

         Mais, quelques minutes plus tard, frère Branham sortir de la voiture, entra dans le restaurant et prit un souper léger. Quand il ressortit, volontairement il ordonna à Joseph d'aller et de voyager avec Billy Paul. Frère Branham et Billy Paul avaient accompli des milliers de kilomètres depuis que frère Branham avait commencé son ministère public en 1946. Il préf

    érait conduire. Il aimait monter dans sa voiture et voyager de réunion en réunion. Bien souvent, il chantait des cantiques en cours de route, admirant le panorama qui défilait et chantant au plus haut de sa voix: "Je suis heureux d'être l'un d'entre eux". Connaissant les routes comme il les connaissait, spécialement la route de Tucson à Jeffersonville, il n'avait même pas besoin d'employer les cartes routières.

         Lui et frère Billy Paul pouvaient se lever à 5 heures du matin et démarrer à 5 heures 15, et ils vous auraient dit  alors à quel restaurant ils prendraient leur repas de midi à 400 ou 500 km plus loin. Ils avaient voyagé si souvent qu'ils connaissaient les autoroutes et les restaurants, et ils savaient où aller.

         Maintenant je vous dis ceci parce que cela a quelque chose à voir avec l'accident de frère Branham. Juste de l'autre côté de Texico, Nouveau-Mexique, quand vous sortez de la ville juste à l'intérieur de la frontière du Texas, il y a un tournant bizarre que vous devez prendre au milieu d'îlots qui encombrent la rue que vous empruntez en vue d'atteindre la grand-route ver

    s Amarillo. Billy Paul précédait son père, avec ses deux garçons et maintenant Joseph. Et soeur Loyce et frère Billy Paul dans leur voiture étaient en tête, et frère Branham, Sarah et soeur Branham suivaient dans leur station-wagon.

         Frère Billy Paul prit bien le tournant, mais frère Branham le manqua. Billy se rendit compte que son père n'avait pas tourné et se rangea sur le côté de la route. Il savait que son père devait tourner et revenir en arrière pour prendre le bon couloir qui conduisait au tournant.

         Soeur Branham se souvient que son mari sortit de l'autre côté de la petite ville, traversa une ligne de chemin de fer, prit un tournant en U et revint sur ses pas. Billy me dit qu'il fallut de 3 à 5 minutes pour que son père revienne jusqu'à lui.

         A5 km à l'est de Friona, Texas, Billy Paul dépassa l'a

    utomobile de la famille Busbe. Et quand il  doubla l'automobile, il remarqua, venant de la direction de Friona, ce qui lui paraissait être un motocyclette, car il n'y avait qu'un phare allumé. Frère Branham et Billy Paul s'étaient mis d'accord à Clovis en vue de s'arrêter à Amarillo, qui n'était qu'à 120 km de là et où ils voulaient s'arrêter pour la nuit. Ainsi donc ils n'avaient plus que quelque heure d'auto avant le repos. La nuit venait de tomber et il était environ 7 heures du soir quand Billy remar

    qua ce qui lui paraissait être une motocyclette. Mais quand cela s'approcha, il reconnut que c'était une voiture avec seulement le phare droit allumé. Le gauche absent faisait penser à une motocyclette qui roulait en plein milieu de la route. Billy se jeta dans le fossé et regarda dans son rétroviseur pour voir si la voiture surchargée qu'il venait de dépasser, 1 ou  2 km plus tôt, avait pu éviter cette soi-disant motocyclette quand subitement, il y eut un grand fracas.

         Cette voiture était une Chevrolet 1961, conduite par un jeune de 17 ans qui avait été enfermé et relâché de la maison de correction de l'État du Texas depuis qu'il avait l'âge de 11 ans. Il avait été libéré de l'école réformatoire de Gainesville trente jours plus tôt, sous la garde de son oncle qui était un homme misérable, garçon de ferme, qui avait lui-même neuf enfants. Et nous avons découvert que ce garçon ne connaissait même pas ses parents, excepté cet oncle.

         Ce garçon avait travaillé trente jours et il n'y avait que trois jours qu'il s'était rendu à la compagnie Chevrolet à Friona, et avait fait un versement de 100 dollars en paiement de cette vieille Chevrolet qui n'était pas en très bon état. Elle était bl

    anche; elle était difficile à voir. Ce garçon et ses trois compagnons avaient bu. L'homme qui leur avait vendu cette voiture n'avait tenu compte que des charges financières et il voulait s'assurer que ce garçon, qui avait été toute sa vie un délinquant, possédait l'assurance particulière qui lui permettrait d'être remboursé en cas de perte totale. Il n'y avait aucune assurance garantissant l'automobile elle-même.

         Quand l'automobile frappa de plein fouet la voiture qui se trouvait derrière celle de Billy Paul, ce dernier pensa qu'il s'agissait de la voiture surchargée de cette famille Busbe. Billy Paul sachant que son père était derrière cette voiture, vu la violence de cette collision, pensa que son père s'arrêterait pour prêter son secours. Alors Billy fit demi-tour sur la route et s'approcha du lieu de l'accident.

         Quand ses phares éclairèrent la voitu

    re, il réalisa que son père avait eu la possibilité de dépasser cette voiture chargée de la famille (l'homme, la femme et les trois enfants) et que c'était son père qui était la victime de cet accident d'automobile. Billy rangea immédiatement sa voiture sur la droite, sur le bas-côté, sortit de sa voiture, remonta les vitres et ferma les portes en laissant à l'intérieur, Paul, David et Joseph, leur recommandant de ne pas sortir. Lui et Loyce traversèrent en courant l'autoroute.

         Billy trouva son père, la tête ayant passé au travers du pare-brise, et reposant sur le capot. Son bras gauche et son coude étaient coincés dans la portière. Sa jambe gauche était enroulée autour de l'axe du volant. Sarah était étendue derrière, sur le plancher. Soeur Branham se trouvait sous le tableau de bord, à droite, dans la voiture. Billy parla à son père et lui dit: "Papa, dis une parole".

         Frère Branham lui répondit: "Je ne peux pas"

    ou "Je ne veux pas". Et il détourna la tête.

         Ace moment, Loyce commença à crier: "Meda est morte! Meda est morte!".

         Billy contourna la voiture, découvrit soeur Meda et essaya de trouver son pouls. Il ne trouva rien. Il retourna de l'autre côté du véhicule et parla  à son père et lui dit: "Papa, Meda est morte!".

         Ace moment, Joseph hurla d'une voix forte et frère Branham remua en quelque sorte sa tête, se tourna et dit:"Qu'est-ce que c'était que ça?"

         Or, ceux qui sont familiarisés avec la vision du 22 décembre que frère Branham expose dans "Messieurs, quelle heure est-il?" savent que Joseph était avec lui et qu'il y avait eu un très fort hurlement.

         Billy dit à son père que sa mère était morte. Et frère Branham demanda: "Où est-elle?".

         Et il lui dit: "Sur le plancher".

         Frère Branham dit: "Mets sa main dans la mienne", et frère Branham mit sa main dans les débris et Billy plaça la main de Meda dans la main de son père qui pria: "O Dieu, ne laisse pas mourir maman, mais laisse-la avec nous".

         Ilsretirèrent soeur Meda et Sarah de la voiture et les envoyèrent à l'hôpital de Friona, Texas. Le conducteur de l'autre automobile était mort sur le coup. Le passager du côté droit aussi était mort. Les deux garçons à l'arrière du véhicule étaient à peine vivants. Tous ont été conduits également à l'hôpital et il fallut plus de 45 minutes pour dégager frère Branham de toute cette ferraille: il était tellement encastré.

         Billy Paul dut risquer sa vie, malgré l'avis du dépa

    nneur et de la patrouille de police, pour se glisser à l'intérieur en rampant, tandis qu'un câble était placé pour tirer la voiture à l'aide de deux camions. Ce câble aurait mortellement blessé Billy Paul s'il avait lâché. Billy dut dégager la jambe de son père, enroulée autour de l'axe du volant et repousser la portière vers l'extérieur avec ses pieds pour arriver à dégager le bras de son père. Ils l'ont alors placé dans une ambulance. Billy se faufila dans l'ambulance à côté de son père. "Billy, est-ce que j'ai ma perruque?".

         Billy lui dit: "Oui", Et frère Branham lui dit: "Retire-la".

         Billy essaya de la tirer, mais sans succès. Il dit à son père: "Je n'y arrive pas".

         Et frère Branham lui  dit: "Retire-la!". Billy l'empoigna et la jeta.

         Ils emmenèrent frère Branham à l'hôpital et q

    uand Billy atteignit l'hôpital, c'est alors que la première annonce fut faite: Frère Branham et sa famille ont été victime d'un accident automobile.

         Becky n'était pas mariée à cette époque, mais était fiancé à George Smith. Je vivais au ranch Grace à Wrightstown  Road à Tucson, Arizona, et George et Becky avaient été nos hôtes au souper de ce soir-là. Ils se préparaient à nous quitter, quand le téléphone sonna. Et Betty Collins téléphona et demanda si George et Becky étaient là. Je répondis:"Oui". Et elle dit: "Laissez-les sortir"; et elle m'informa alors de l'accident.

         J'appelai immédiatement frère Roy Roberson pour voir s'il savait si c'était sérieux ou non. Il n'en savait encore rien. Aussi je téléphonai à Billy Paul à l'hôpital et c'est lui qui me fit connaître combien c'était sérieux. Je jetai ce que je pouvais dans une valise et sortis en courant de la maison; 37 minutes plus tard, j'étais sur un jet allant à Phoenix, sans réservation, sans rien, tentant simplement ma chance d'attraper le prochain avion allant de Phoenix dans cette direction.

         Quand j'arrivai à Phoenix, je traversai le terminus et sautai dans un jet déjà occupé par les passagers, et il ne restait que quelques sièges. Je n'avais pas de ticket. J'obtins un ticket de l'hôtesse et m'envolai pour Albuquerque, Nouveau-Mexique. A chacun des arrêts,

    j'appelais Billy Paul au téléphone et il m'apprit qu'ils transféraient son père à Amarillo, Texas, et que soeur Branham et Sarah étaient déjà à Amarillo. il me demanda d'abord d'aller à Amarillo, afin qu'il soit bien sûr qu'il y avait quelqu'un avec eux. J'essayai de trouver un avion, mais il n'y en avait aucun avant 6 heures du matin. C'était minuit à Albuquerque.

         Plutôt que d'attendre 6 heures -- il faisait très froid, il y avait du verglas, les routes étaient dans une condition terrible, j'avais demandé à Billy s'il vo

    ulait que je vienne en voiture, parce que je pouvais louer un véhicule pour me rendre à Amarillo plus vite que par le jet du lendemain. Il me dit:"Si vous faites cela, je préfère que vous alliez à Clovis, et que vous ameniez ma femme et mes enfants, avec Joseph jusqu'à Amarillo". Quand il prit pour moi la décision d'aller à Clovis, vu qu'il n'y avait pas de ligne commerciale je louai un avion privé et volai d'Albuquerque à Clovis.

         En route pour Clovis, au matin du 19 décembre quand la lune se leva sur l'horizon de l'Est, c'est alors que je remarquai pour la première fois qu'il y ava

    it des signes dans le ciel nous disant que quelque chose d'extraordinaire se passait. Quand la lune s'éleva, elle était noire d'ébène au sommet, excepté une toute petite partie qui ressemblait à une larme tout en bas de la lune. Je considérais cela d'environ 3000 m d'altitude et ce croissant de lumière à la base de la lune était rouge sang.

         Je me tournai vers l'homme qui volait avec moi et qui était un membre des Mormons, et je lui demandai: "Monsieur, est-ce que vous voyez ce que je vois?".

         Et il me répondit: "C'est un signe de la venue du Seigneur". 

         C'est alors que je dis à cet homme ce que je cro

    yais qu'était fr

    ère Branham et ce qui était arrivé. Nous avons atterri à Clovis, Nouveau-Mexique, et je l'invitai à venir avec moi à Amarillo. Il dit non; après avoir vu ce qu'il avait vu, il se sentait tellement repris dans son coeur qu'il voulait retourner dans sa propre maison, et mettre ses affaires en ordre, parce qu'il avait des enfants qui n'étaient pas encore sauvés...

         Quand j'arrivai à Clovis, je m'arrêtai au restaurant -- où vais-je vous dire -- quand je suis sorti de cet aéroplane loué, il n'y avait personne sur l'aéroport. Je regardai à travers le champ d'aviation et je voyais au loin une petite lumière ronde comme les lampes à l'entrée des porches d'entrée. Il faisait très froid. Je saluai le pilote et me mis à marcher à travers le champ vers cette lumière de la porte qui brillait, de la taille d'une pièce de monnaie. Je frappai à la porte à cette heure de la nuit et le propriétaire se demanda comment j'étais arrivé là, d'où j'étais -- et je lui demandai simplement mon chemin pour aller à la ville. Et il me dit alors qu'un homme avait laissé une voiture de location près du hangar et que la société de location devait venir la récupérer ce matin-là. J'allai

    jusqu'à la voiture, les clefs étaient dessus. Je m'emparai de la voiture et je conduisis jusqu'à l'endroit où m'attendaient Loyce et les enfants. Avec cette voiture, nous sommes arrivés à Amarillo, Texas, et à 8 heures du matin, je téléphonai à cette société de location à Clovis et je leur dit que j'avais pris la voiture et qu'elle serait ramenée l'après-midi même. Ils étaient si contents qu'ils ne me firent pas payer les trente-cinq dollars de location et me libérèrent de ma dette.

    Quand j'arrivai à Amarillo, Texas, j'allais immédiatement à l'hôpital. Il était 8 heures quand j'entrai dans la salle d'attente. L'accident avait eu lieu tr

    eize heures auparavant. Frère Billy Paul avait été debout toute la nuit et à un moment donné, la pression sanguine de son  père était tombée à zéro et les archives médicales déclaraient qu'ils avaient dû mettre frère Bran

    ham sur la tête pour qu'il pût recevoir une transfusion de sang.

         Frère Billy Paul répondait à un appel longue distance.

    Je ne me souviens pas à qui. Mais si Billy Paul devait vivre jusqu'à 60 ans, je saurais exactement à quoi il ressemblerait, parce que ce matin-là, il me parût âgé de 60 ans. Il était si fatigué, si épuisé, si triste qu'il ne se souvient même pas aujourd'hui m'avoir vu entrer dans la chambre, lui prendre le téléphone des mains et simplement le conduire v ers un divan où il tomba et s'endormit...

    [Du Pasteur Pearry Green, tiré du livre du Pas

    teur André Morin, intitulé "La Biographie De William Branham", pages 540 à 547].


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  • Cette galarie est exclusivement consacrée au prophète du temps de la fin, WILLIAM MARRION BRANHAM
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